RUFEREQ

Recherchant une optimisation des dépenses de maintenance du réseau, des études, effectuées à la Direction de l’Infrastructure de la SNCF, avaient pour but de formaliser le lien existant entre les coûts d’entretien et les volumes d’installations renouvelées. Partant du modèle de défaillance d’un composant, la méthode consiste d’abord à bâtir le modèle de son coût de maintenance (coût d’entretien et coût de régénération). Dans un second temps, elle est étendue au modèle de coût d’une voie complète en consolidant les données des composants· élémentaires. Enfin, les cycles de maintenance étant caractérisés par la période de régénération, c’est la comparaison des courbes des coûts associés à ces cycles qui permet de choisir la· période correspondant à l’optimum économique. Appliquée à la voie courante et aux appareils de voie, cette démarche peut être étendue à d’autres types d’installation.

Marc Antony